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Lectures – Dimanche 25 avril

vendredi 23 avril 2021
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Première lecture

« En nul autre que lui, il n’y a de salut »

Lecture du livre des Actes des Apôtres (Ac 4, 8-12)

En ces jours-là, Pierre, rempli de l’Esprit Saint, déclara : « Chefs du peuple et anciens, nous sommes interrogés aujourd’hui pour avoir fait du bien à un infirme, et l’on nous demande comment cet homme a été sauvé. Sachez-le donc, vous tous, ainsi que tout le peuple d’Israël : c’est par le nom de Jésus le Nazaréen, lui que vous avez crucifié mais que Dieu a ressuscité d’entre les morts, c’est par lui que cet homme se trouve là, devant vous, bien portant. Ce Jésus est la pierre méprisée de vous, les bâtisseurs, mais devenue la pierre d’angle. En nul autre que lui, il n’y a de salut, car, sous le ciel, aucun autre nom n’est donné aux hommes, qui puisse nous sauver. »

Textes liturgiques © AELF, Paris

 

Psaume

(Ps 117 (118), 1.8-9, 21-23, 26.28-29)

R/ La pierre qu’ont rejetée les bâtisseurs

est devenue la pierre d’angle.

ou : Alléluia ! (Ps 117, 22)

 

Rendez grâce au Seigneur : Il est bon !

Éternel est son amour !

Mieux vaut s’appuyer sur le Seigneur

que de compter sur les hommes ;

mieux vaut s’appuyer sur le Seigneur

que de compter sur les puissants !

 

Je te rends grâce car tu m’as exaucé :

tu es pour moi le salut.

La pierre qu’ont rejetée les bâtisseurs

est devenue la pierre d’angle :

c’est là l’œuvre du Seigneur,

la merveille devant nos yeux.

 

Béni soit au nom du Seigneur celui qui vient !

De la maison du Seigneur, nous vous bénissons !

Tu es mon Dieu, je te rends grâce,

mon Dieu, je t’exalte !

Rendez grâce au Seigneur : Il est bon !

Éternel est son amour !

Textes liturgiques © AELF, Paris

 

Deuxième lecture

« Nous verrons Dieu tel qu’il est »

Lecture de la première lettre de saint Jean (1 Jn 3, 1-2)

Bien-aimés, voyez quel grand amour nous a donné le Père pour que nous soyons appelés enfants de Dieu – et nous le sommes. Voici pourquoi le monde ne nous connaît pas : c’est qu’il n’a pas connu Dieu. Bien-aimés, dès maintenant, nous sommes enfants de Dieu, mais ce que nous serons n’a pas encore été manifesté. Nous le savons : quand cela sera manifesté, nous lui serons semblables car nous le verrons tel qu’il est.

Textes liturgiques © AELF, Paris