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Lectures – Dimanche 15 novembre

jeudi 12 novembre 2020
Première lecture :

« Ses mains travaillent volontiers » (Pr 31, 10-13.19-20.30-31)

Lecture du livre des Proverbes

Une femme parfaite, qui la trouvera ? Elle est précieuse plus que les perles ! Son mari peut lui faire confiance : il ne manquera pas de ressources. Elle fait son bonheur, et non pas sa ruine, tous les jours de sa vie. Elle sait choisir la laine et le lin, et ses mains travaillent volontiers. Elle tend la main vers la quenouille, ses doigts dirigent le fuseau. Ses doigts s’ouvrent en faveur du pauvre, elle tend la main au malheureux. Le charme est trompeur et la beauté s’évanouit ; seule, la femme qui craint le Seigneur mérite la louange. Célébrez-la pour les fruits de son travail : et qu’aux portes de la ville, ses œuvres disent sa louange !

Textes liturgiques © AELF, Paris

 
Psaume 

(Ps 127 (128), 1-2, 3, 4-5)

R/ Heureux qui craint le Seigneur ! (Ps 127, 1a)

 

Heureux qui craint le Seigneur

et marche selon ses voies !

Tu te nourriras du travail de tes mains :

Heureux es-tu ! À toi, le bonheur !

 

Ta femme sera dans ta maison

comme une vigne généreuse,

et tes fils, autour de la table,

comme des plants d’olivier.

 

Voilà comment sera béni

l’homme qui craint le Seigneur.

De Sion, que le Seigneur te bénisse !

Tu verras le bonheur de Jérusalem tous les jours de ta vie.

 

Textes liturgiques © AELF, Paris

 

Deuxième lecture

« Que le jour du Seigneur ne vous surprenne pas comme un voleur » (1 Th 5, 1-6)

Lecture de la première lettre de saint Paul apôtre aux Thessaloniciens

Pour ce qui est des temps et des moments de la venue du Seigneur, vous n’avez pas besoin, frères, que je vous en parle dans ma lettre. Vous savez très bien que le jour du Seigneur vient comme un voleur dans la nuit. Quand les gens diront : « Quelle paix ! quelle tranquillité ! », c’est alors que, tout à coup, la catastrophe s’abattra sur eux, comme les douleurs sur la femme enceinte : ils ne pourront pas y échapper. Mais vous, frères, comme vous n’êtes pas dans les ténèbres, ce jour ne vous surprendra pas comme un voleur. En effet, vous êtes tous des fils de la lumière, des fils du jour ; nous n’appartenons pas à la nuit et aux ténèbres. Alors, ne restons pas endormis comme les autres, mais soyons vigilants et restons sobres.  

Textes liturgiques © AELF, Paris