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Lectures – Dimanche 18-04

vendredi 16 avril 2021
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Première lecture

« Vous avez tué le Prince de la vie, lui que Dieu a ressuscité d’entre les morts »   

Lecture du livre des Actes des Apôtres (Ac 3, 13-15.17-19)

En ces jours-là, devant le peuple, Pierre prit la parole : « Hommes d’Israël, le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, le Dieu de nos pères, a glorifié son serviteur Jésus, alors que vous, vous l’aviez livré, vous l’aviez renié en présence de Pilate qui était décidé à le relâcher. Vous avez renié le Saint et le Juste, et vous avez demandé qu’on vous accorde la grâce d’un meurtrier. Vous avez tué le Prince de la vie, lui que Dieu a ressuscité d’entre les morts, nous en sommes témoins. D’ailleurs, frères, je sais bien que vous avez agi dans l’ignorance, vous et vos chefs. Mais Dieu a ainsi accompli ce qu’il avait d’avance annoncé par la bouche de tous les prophètes : que le Christ, son Messie, souffrirait. Convertissez-vous donc et tournez-vous vers Dieu pour que vos péchés soient effacés. »

Textes liturgiques © AELF, Paris

 

Psaume  (4, 2, 4.7, 9)

R/ Sur nous, Seigneur,

que s’illumine ton visage !

 

Quand je crie, réponds-moi,

Dieu, ma justice !

Toi qui me libères dans la détresse,

pitié pour moi, écoute ma prière !

 

Sachez que le Seigneur a mis à part son fidèle,

le Seigneur entend quand je crie vers lui.

Beaucoup demandent : « Qui nous fera voir le bonheur ? »

Sur nous, Seigneur, que s’illumine ton visage !

 

Dans la paix moi aussi,

je me couche et je dors,

car tu me donnes d’habiter, Seigneur,

seul, dans la confiance.

Textes liturgiques © AELF, Paris

 

Deuxième lecture

« C’est lui qui obtient le pardon de nos péchés et de ceux du monde entier »

Lecture de la première lettre de saint Jean (1 Jn 2, 1-5a)

Mes petits enfants, je vous écris cela pour que vous évitiez le péché. Mais si l’un de nous vient à pécher, nous avons un défenseur devant le Père : Jésus Christ, le Juste. C’est lui qui, par son sacrifice, obtient le pardon de nos péchés, non seulement des nôtres, mais encore de ceux du monde entier. Voici comment nous savons que nous le connaissons : si nous gardons ses commandements. Celui qui dit : « Je le connais », et qui ne garde pas ses commandements, est un menteur : la vérité n’est pas en lui. Mais en celui qui garde sa parole, l’amour de Dieu atteint vraiment la perfection.

Textes liturgiques © AELF, Paris