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Lectures du dimanche

jeudi 16 avril 2020
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Première lecture : Actes des Apôtres 2, 42-47

« Tous les croyants vivaient ensemble, et ils avaient tout en commun »

Les frères étaient assidus à l’enseignement des Apôtres et à la communion fraternelle, à la fraction du pain et aux prières. La crainte de Dieu était dans tous les cœurs à la vue des nombreux prodiges et signes accomplis par les Apôtres. Tous les croyants vivaient ensemble, et ils avaient tout en commun ; ils vendaient leurs biens et leurs possessions, et ils en partageaient le produit entre tous en fonction des besoins de chacun. Chaque jour, d’un même cœur, ils fréquentaient assidûment le Temple, ils rompaient le pain dans les maisons, ils prenaient leurs repas avec allégresse et simplicité de cœur ; ils louaient Dieu et avaient la faveur du peuple tout entier. Chaque jour, le Seigneur leur adjoignait ceux qui allaient être sauvés.

Textes liturgiques © AELF, Paris

 

Psaume (Ps 117 (118), 2-4, 13-15b, 22-24)

R/ Rendez grâce au Seigneur : Il est bon !
Éternel est son amour !

Oui, que le dise Israël :

Éternel est son amour !

Que le dise la maison d’Aaron :

Éternel est son amour !

Qu’ils le disent, ceux qui craignent le Seigneur :

Éternel est son amour !

 

On m’a poussé, bousculé pour m’abattre ;

mais le Seigneur m’a défendu.

Ma force et mon chant, c’est le Seigneur ;

 il est pour moi le salut.

Clameurs de joie et de victoire

sous les tentes des justes.

 

La pierre qu’ont rejetée les bâtisseurs

 est devenue la pierre d’angle ;

c’est là l’œuvre du Seigneur,

la merveille devant nos yeux.

Voici le jour que fit le Seigneur,

qu’il soit pour nous jour de fête et de joie !

Textes liturgiques © AELF, Paris

 

Deuxième lecture

« Il nous a fait renaître pour une vivante espérance grâce à la résurrection de Jésus Christ d’entre les morts » (1 P 1, 3-9)

Lecture de la première lettre de saint Pierre apôtre, (1 P 1, 3-9)

Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus Christ : dans sa grande miséricorde, il nous a fait renaître pour une vivante espérance grâce à la résurrection de Jésus Christ d’entre les morts, pour un héritage qui ne connaîtra ni corruption, ni souillure, ni flétrissure. Cet héritage vous est réservé dans les cieux, à vous que la puissance de Dieu garde par la foi, pour un salut prêt à se révéler dans les derniers temps. Aussi vous exultez de joie, même s’il faut que vous soyez affligés, pour un peu de temps encore, par toutes sortes d’épreuves ; elles vérifieront la valeur de votre foi qui a bien plus de prix que l’or – cet or voué à disparaître et pourtant vérifié par le feu –, afin que votre foi reçoive louange, gloire et honneur quand se révélera Jésus Christ. Lui, vous l’aimez sans l’avoir vu ; en lui, sans le voir encore, vous mettez votre foi, vous exultez d’une joie inexprimable et remplie de gloire, car vous allez obtenir le salut des âmes qui est l’aboutissement de votre foi.

Textes liturgiques © AELF, Paris